La demanderesse souhaite exercer une action collective pour représenter toute personne, physique ou morale, qui a utilisé ou visité YouTube, média social exploité par Google, depuis le 15 mars 2020, alors qu’elle résidait au Québec ou y avait un établissement. Elle recherche l’octroi de dommages compensatoires et punitifs pour toute personne qui, dans le contexte de la pandémie de Covid-19, a subi la censure de ses vidéos par YouTube. La demande concerne toute personne qui n’a pu prendre connaissance de ces mêmes vidéos.
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