Le 2 août 2022, l’accusé a écrit sur Twitter que Sophie Durocher, journaliste et chroniqueuse — laquelle s'était exprimée contre les personnes non vaccinées dans le contexte de la pandémie de la COVID-19 — méritait « d’être giflée si fort qu’elle tombe dans le coma pour une couple d’années… ». Le poursuivant porte des accusations de menaces de causer la mort ou des lésions corporelles et de harcèlement criminel. La défense ne voit pas dans ces mots une menace ou un comportement menaçant. Elle plaide également que l’accusé, en écrivant ces mots, n’avait pas l’intention requise pour entrainer sa responsabilité criminelle puisqu’il s’agirait de propos irréfléchis, prononcés sous le coup de la colère et non pas proférés dans le but d’intimider ou d’être pris au sérieux.
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